Le Comité de quartier est heureux d'accueillir Pascal Wagner, réalisateur de l’ouvrage Dans les rues du Clapas.
Il nous invite à une belle promenade dans l'histoire de Montpellier et de ses rues. On pourra ainsi parcourir le centre-ville, et retrouver assise sur sa chaise, à l’angle des halles Castellane, la porteuse tricotant, son coussin de portage fixé sur la tête et attendant un nouveau fardeau ; au bas du boulevard Jeu de Paume, le vendeur de beignets avec son tablier et sa casquette ; la marchande de betteraves, rue de l’Huile ; l’horloger en blouse noire, caissette sur le dos, descendant la rue Saint-Pierre… Et surtout réentendre leurs cris et leurs voix.
Pascal Wagner, traducteur de Dins las Carrièiras dau Clapàs accompagne la cinquantaine de portraits d’une photo réalisée à l’emplacement exact où l’artiste peintre montpelliérain Edouard Marsal fixa pour l’éternité le mouvement et l’expression des figures populaires et petits métiers d’autrefois : vendeuse d’herbettes, rémouleur, du vendeur de lait ou de vinaigre, chiffonnier, vendeuse de cierges ou d’allumettes.
Jeudi 7 novembre 2024 - 18h30. Salle Bonnet. Entrée libre. Il est possible de réserver sa place 07 50 31 95 59
Avec les missions Lhote (1956-1962), le grand public découvrait l’existence, au Sahara central, des extraordinaires « fresques du Tassili » d’Ozan Éhéré (Tasīli-n-Ăjjer, Sahara central, Algérie) .
Leur renommée est encore suffisamment grande aujourd’hui pour intéresser un public averti. Mais ce que nous pensions savoir et bien
établi a largement été balayé par les travaux menés dans les trente dernières années, ouvrant des pistes nouvelles d’interprétation, comme les ont évoqués le 24 mai 2024 Amel
Mostefaï-Ithier, Docteure en Préhistoire, Anthropologie, Ethnologie , au travers des découvertes rupestres faites à Ozan Ehéré .
Nous avions déjà croisé Jonathan Garrigues il y a deux ans. Il continue sa chasse photographique dans des
endroits sauvages et reculés, loin du monde occidental, à la rencontre d’animaux mythiques, rares et magnifiques. La beauté discrète de ses portraits ouvre notre imaginaire et ses libres animaux
semblent nous contempler du haut de leur majesté avec autant de curiosité que l’objectif qui les fixe dans leur quotidien. Ce 11 décembre, il nous a parlé du serval qu'il a croisé en Afrique. Cet
animal mythique est bien réel. Il ressemble à un gros chat sauvage, longues pattes et tête élancée et serait un descendant du lion, mais il ronronne !
9 octobre 2021
Jonathan, chasseur d’images a présenté
Libres animaux : du roi de la savane à la Panthère des neiges
« Les bêtes étaient partout. Jamais je n'avais vu galoper autant de zèbres, courir tant d'autruches, bondir tant de gazelles et d'antilopes, ni des troupeaux de buffles aussi denses, ni de familles de girafes aussi nombreuses écrivait Kessel. Comme son auteur préféré, Jonathan délaisse très souvent Montpellier pour partir dans des endroits sauvages et reculés, loin du monde occidental, à la rencontre d’animaux mythiques rares et magnifiques. De l’Himalaya avec la fantomatique panthère des neiges aux superbes lions d’Afrique, il les saisit dans leur milieu naturel. La beauté discrète de ses portraits ouvre notre imaginaire et ses libres animaux semblent nous contempler du haut de leur majesté avec autant de curiosité que l’objectif qui les fixe dans leur quotidien.
Le samedi 14 décembre il a commenté et présenté ses rencontres photographiques.